Voici le lien qui mène au reportage de JE.
http://tva.canoe.ca/emissions/je/
Il y aurait eu encore plein de choses à dire sur le sujet :
. Desjardins a continué de vendre les produits en cause alors même que l'industrie savait qu'il y avait des risques importants en raison des problèmes éprouvés par les fonds de couverture ;
. Si Desjardins a racheté les fameux papiers commerciaux (PCAA) à ses gros clients (institutions) pourquoi ne rachète-t-elle pas les placements de type CPG gestion active à ses petits clients ? Pourtant, les PCAA étaient des produits plus risqués que les CPG gestion active ;
. Le risque d'un produit financier ne consiste pas qu'en la protection ou non du capital investi. Il touche la possibilité que le rendement obtenu soit inférieur à celui anticipé (AMF, Petit lexique des investisseurs, p. 2)
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RépondreSupprimerBonjour madame Dauphinais,
RépondreSupprimerVoici une capsule vidéo fort intéressante pour une économiste comme vous. Elle a été réalisée par Éric Pineault, professeur en socioéconomie à l'UQAM.
http://socioeconomie.wordpress.com/2011/09/24/definition-banque-monnaie-capitaliste/
En particulier, à la 32e minute et 30 secondes, Éric parle de la titrisation et de son usage par les caisses Desjardins.
Donnez-m'en des nouvelles!
Christian